Jackie Chan et AK-47 à Kompong Cham
Finalement de retour au clavier…désolé pour la pause d'écriture, mais bloguer en voyage c'est vraiment pas facile pour nous! À partir d'aujourd'hui, un minimum d'un post par semaine. C'est une promesse! On continue sur notre récit du Cambodge à partir de Montréal.
Journée de notre départ pour Kompong Cham à partir de Kep. Il est bon de savoir que le trajet est possible, nous qui étions certains de devoir dormir une autre nuit à Phnom Penh. C'est pas qu'on aime pas la capitale, mais on préfère y revenir. Départ à 8h00 en bus à partir de "Kep Beach". Un trajet d'environ 7 heures avec un transit à Phnom Penh. Parcours de bus sans histoire. On doit noter la présentation de films de série "D" chinois giga violents suivis d'un mauvais Jackie Chan. Tous les gens à bord sont captivés et franchement amusés par cette violence extrême et/ou cet humour douteux…À notre grande surprise, nous sommes également emporté dans le mouvement, captivant. Faut croire qu'après plusieurs années de censure média, ce n'est pas surprenant de s'accrocher à tout genre de divertissement. C'est culturel quoi! Arrivé au terminus de Kompong Cham (plutôt un coin de rue), on laisse le bus se vider pour éviter l'attaque des Tuk-Tuk drivers (prochainement à l'affiche)…
Journée de notre départ pour Kompong Cham à partir de Kep. Il est bon de savoir que le trajet est possible, nous qui étions certains de devoir dormir une autre nuit à Phnom Penh. C'est pas qu'on aime pas la capitale, mais on préfère y revenir. Départ à 8h00 en bus à partir de "Kep Beach". Un trajet d'environ 7 heures avec un transit à Phnom Penh. Parcours de bus sans histoire. On doit noter la présentation de films de série "D" chinois giga violents suivis d'un mauvais Jackie Chan. Tous les gens à bord sont captivés et franchement amusés par cette violence extrême et/ou cet humour douteux…À notre grande surprise, nous sommes également emporté dans le mouvement, captivant. Faut croire qu'après plusieurs années de censure média, ce n'est pas surprenant de s'accrocher à tout genre de divertissement. C'est culturel quoi! Arrivé au terminus de Kompong Cham (plutôt un coin de rue), on laisse le bus se vider pour éviter l'attaque des Tuk-Tuk drivers (prochainement à l'affiche)…